Un vieil écrivain confronté au dur métier de vivre. Une fiction ironique et méditative, noire et attachante.
Alors qu'un jardinier s'active à tailler les haies de son voisin, maniant une machine effroyablement bruyante, le narrateur d'Impardonnables – il est écrivain, précisons-le, c'est important, pour ne pas dire essentiel – songe à Ernest Hemingway : « Je me demandais si Hemingway serait allé lui casser la gueule. Je pensais à lui car j'avais relu Les Neiges du Kilimandjaro la veille au soir, et j'avais songé voilà bien un des meilleurs écrivains que je connaisse. Je le pensais chaque fois que je relisais cette histoire, sans coup férir. Superbe écrivain. Puissant. Econome. Rusé. Dommage qu'il n'ait pas épousé ma tante comme il le lui avait promis. »
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